Utilisation des dash-cams - pas l'œuf de Colomb
pas d'œuf de Colomb
Elles sont petites, discrètes et - si l'on en croit les promesses publicitaires d'un vendeur d'électronique - ne laissent aucune chance aux chauffards et aux chauffards : les "dash-cams". Il s'agit de petites caméras qui se fixent dans la voiture sur le rétroviseur intérieur, le tableau de bord ou directement sur le pare-brise et qui enregistrent les événements de la circulation. Ces caméras promettent de fournir, en cas d'accident ou d'infraction reprochée, une preuve incorruptible de la culpabilité de l'adversaire ou de sa propre innocence. L'utilisation de telles caméras fait l'objet d'un débat controversé, notamment la question de savoir si une preuve vidéo ainsi obtenue peut être utilisée dans le cadre d'une procédure judiciaire. Pour la première fois, deux décisions de justice ont été rendues à ce sujet.
Droit immobilier, droit public et privé de la construction, droit des marchés publics