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Depuis un certain temps déjà, la question de savoir si un médecin a besoin d'une autorisation de fabrication relevant de la législation sur les médicaments pour une transplantation de graisse autologue qu'il réalise dans son cabinet est controversée.

Que faire si le MD constate que les exigences d'un niveau d'urgence ne sont pas remplies ?

L'accord et la facturation juridiquement sûrs des prestations optionnelles posent régulièrement des problèmes aux responsables des hôpitaux. Il est particulièrement fâcheux que les patients puissent refuser de payer les prestations optionnelles pour des raisons formelles, parce qu'il n'y a pas eu de conclusion de contrat valable. C'est pourquoi il convient d'accorder une importance particulière à la conclusion d'un contrat en bonne et due forme avec le patient.

Le 02.12.2024, la possibilité de prescrire des pansements à la charge de l'assurance maladie obligatoire pour le traitement des plaies sera modifiée. Les fabricants de pansements doivent vérifier si les produits qu'ils fabriquent peuvent continuer à être prescrits en tant que pansements ou s'ils relèvent de la catégorie nouvellement créée des autres produits pour le traitement des plaies.

La Cour fédérale de justice a désormais statué sur un sujet trop douloureux : un cabinet médical peut exiger des honoraires pour absence du patient qui ne se présente pas au rendez-vous fixé pour son traitement ou qui l'annule à la dernière minute (si certaines conditions sont respectées).

Avant qu'un distributeur puisse mettre un dispositif médical à disposition sur le marché, il doit vérifier si le produit respecte certaines exigences réglementaires. Selon l'article 14, paragraphe 1, du règlement 2017/745 UE sur les dispositifs médicaux (MDR),"lorsque les distributeurs mettent un produit à disposition sur le marché, ils prennent en compte les exigences applicables avec toute la diligence requise dans le cadre de leurs activités".

Depuis l'ordonnance de modification du MDR du 23.03.2023, les Legacy Devices peuvent continuer à être mis sur le marché conformément aux nouvelles dispositions transitoires du MDR (art. 120 MDR) si et aussi longtemps qu'aucune modification substantielle de la destination ou de l'interprétation n'a été effectuée. C'est pourquoi, dans le contexte du nouvel art. 120, al. 3c, let. b MDR, la question se pose de savoir quand une modification de la destination ou de l'interprétation est "substantielle".

Un avis juridique commandé par la Fédération allemande des cliniques privées (Bundesverband Deutscher Privatkliniken e.V.) et différents organismes responsables d'établissements de rééducation conclut que la récente réforme de l'article 15 du Livre VI du Code social est contraire au droit européen et à la Constitution en raison d'une violation du droit de la concurrence. En particulier, les explications des experts Brosius-Gersdorf et Gersdorf concernant le droit européen de la concurrence sont convaincantes et devraient inciter le législateur à reconsidérer le nouveau système d'occupation et de rémunération :

Dans son jugement du 27.04.2022 (B 1 KR 15/21 R), le BSG a décidé que les hôpitaux ne peuvent pas externaliser des prestations essentielles de leur mission de soins à des tiers :

Les hôpitaux sont souvent confrontés à la problématique suivante : un traitement n'est plus médicalement nécessaire et le patient devrait en fait être renvoyé en rééducation ou dans une maison de soins. Or, les places dans les centres de rééducation et les maisons de soins sont rares, de sorte que les patients restent de plus en plus souvent - jusqu'à ce qu'une place se libère - à l'hôpital. Ces frais ne sont toutefois pas pris en charge par la caisse de maladie, mais les caisses de maladie ou le MD dénoncent une mauvaise occupation.

Pour les artisans de la santé, une disposition spéciale est entrée en vigueur avec la loi d'application de la législation sur les dispositifs médicaux (MPDG), qui crée de nouvelles obligations pour le déroulement quotidien du travail.